Depuis quelques jours, Patrick Sébastien, célèbre animateur et chanteur français, est au cœur d’une tempête médiatique. L’origine de cette controverse ? Une chanson parodique intitulée Ma bite sur ton Front populaire , attribuée à tort à l’animateur par une intelligence artificielle.
Patrick Sébastien se défend sur les réseaux sociaux
Le mardi 9 juillet, Patrick Sébastien a pris la parole sur le réseau social X (anciennement Twitter) pour clarifier la situation. Dans un message vidéo, il a fermement nié être l’auteur de cette chanson :
« Je voulais vous faire un petit coucou pour vous dire quelques mots sur une petite saloperie supplémentaire qui a été faite sur les réseaux. Un truc qui tourne, une chanson qui s’appelle je crois ‘Ma morsure sur ton front populaire’ qui m’est attribué alors que ce n’est absolument pas moi qui ai fait ça », a-t-il expliqué.
Une Blague de Mauvais Goût
Pour rappel, le compte Dictavenir avait partagé, le 2 juillet dernier, sur X , une fausse annonce concernant la sortie de ce titre prétendument signé Patrick Sébastien. Accompagnée d’une fausse pochette, cette parodie massive avait été réalisée lors de l’entre-deux tours des élections législatives.
Dictavenir se présente comme un média satirique, spécialisé dans les blagues à caractère politique. Cependant, cette «blague» a rapidement pris de l’ampleur, étant relayée par de nombreux comptes pro-RN.
Une réaction ferme et claire
Les valeurs de Patrick Sébastien
Dans sa vidéo, Patrick Sébastien a tenu à rappeler ses valeurs et son style d’expression, très éloignés de ce type de contenu vulgaire et polémique.
« Ce n’est surtout pas mes valeurs, et pas ma manière de m’exprimer là-dessus », a-t-il précisé.
Il conclut son message en évoquant sa tournée actuelle : « Moi en ce moment je suis sur scène, je vous attends un peu partout, ça se passe super bien, on est en tournée, on fait juste la fête et on est bien loin de ces conneries et de ces usurpations d’identité. Ça a été fait avec de l’intelligence artificielle, paraît-il, ça ne vaudra jamais la connerie naturelle… »