L’affaire autour de Gérard Depardieu rebondit. Dix mois après la diffusion du Complément d’enquête sur France 2, un rapport d’huissier confirme que des propos choquants, coupés au montage, sont encore plus explicites que ce qui avait été initialement diffusé.
Des propos scandaleux confirmés
En 2023, l’émission Complément d’enquête sur France 2 avait diffusé des images inédites tournées en Corée du Nord, où Gérard Depardieu avait tenu des propos dérangeants à l’égard d’une jeune cavalière. Ces déclarations avaient provoqué une onde de choc dans les médias. Toutefois, la famille de l’acteur avait rapidement réagi en minimisant la portée de ces propos, affirmant qu’il n’avait pas parlé de la jeune fille en question.
Un rapport d’huissier dévoile de nouveaux détails
Le quotidien Le Parisien a récemment révélé que l’analyse des rushs réalisée par un huissier a contredit les affirmations de la famille. Selon le rapport, les images montrent clairement que Gérard Depardieu faisait référence à la jeune cavalière, sans qu’il y ait d’autre personne sur le terrain. Le montage initial de l’émission avait coupé certaines parties, mais ces nouvelles analyses révèlent des propos encore plus explicites et troublants.
Des séquences non diffusées encore plus choquantes
L’huissier a mis en lumière des scènes encore plus dérangeantes qui n’ont pas été diffusées. Les propos de l’acteur, déjà très controversés, apparaissent dans toute leur crudité dans ces rushs non exploités. Voici ce que révèle le rapport :
Des remarques explicites sur la jouissance des cavalières pendant la démonstration équestre.
Des commentaires dégradants et vulgaires sur des situations sexuelles imaginées.
Ces révélations aggravent la situation pour Depardieu, dont la famille et lui-même avaient tenté de minimiser l’affaire en la qualifiant de « montage frauduleux ».
Un scandale qui ne cesse de s’amplifier
Avec ces nouvelles découvertes, l’affaire Depardieu prend une tournure encore plus embarrassante. Les images non diffusées risquent de raviver le débat sur la responsabilité des personnalités publiques face à leurs actes et paroles, ainsi que sur les limites de la diffusion médiatique.
L’acteur, jusqu’à présent silencieux, pourrait faire face à une pression encore plus forte pour s’expliquer, alors que son image publique continue de se dégrader.