par Si cela fait des années que Karine Le Marchand aide les agriculteurs à trouver l’amour sur M6, elle-même semble un peu en galère côté coeur.
Le 1er juin, Karine Le Marchand relancera son émission mi people mi politique : Une ambition intime. Au casting cette année, il faudra ainsi compter sur Jordan Bardella, Gérald Darmanin, Sandrine Rousseau et Fabien Roussel. L’animatrice, en promotion de son programme sur M6, a fait quelques intimes confidences sur sa propre vie privée…
Karine Le Marchand abonnée aux « histoires déceptives » ?
La présentatrice star de M6 – qui a bien failli quitter le groupe lorsqu’elle a appris qu’il y avait des négociations avec son ennemi juré, Cyril Hanouna – abordera l’épineuse question de la vie privée des représentants politiques dans ce retour d’Une ambition intime, à deux ans de la prochaine élection présidentielle.
Mais Karine Le Marchand est, de son côté, peu bavarde quand il s’agit d’évoquer publiquement sa propre vie privée. La maman d’Alya (22 ans) a finalement accepté d’évoquer le sujet en interview avec La Tribune Dimanche. À 56 ans, l’animatrice avoue avoir essuyé pas mal de revers en amour. « Je suis hyper paranoïaque : entre les tromperies, les vies doubles et les mythomanes, j’ai eu beaucoup d’histoires déceptives », a-t-elle commencé. « Je crois encore à une histoire d’amour, mais pas à n’importe quel prix. J’ai peur de perdre ma santé mentale en tombant sur un dingue. Une femme qui gagne bien sa vie, qui est connue et qui a du caractère, ça peut faire peur ».
Et celle qui est parfois pensionnaire des Grosses Têtes de RTL d’ironiser sur sa situation : « Mes amis disent que je suis ‘surqualifiée' ».
Karine Le Marchand vit « très bien » son célibat
Si Karine Le Marchand dit « très bien » vivre son célibat, celle qui a partagé quelque temps sa vie avec Lilian Thuram ainsi que JoeyStarr a pourtant conscience que cette situation pèse très lourd chez certains. « La solitude ne me déplaît pas. Mais il y a des millions de gens qui en crèvent », avoue l’animatrice de L’Amour est dans le pré.
Source : Journal des femmes
