Léa Salamé a fait ses grands adieux à la matinale de France Inter. À la rentrée, elle reprendra les rênes du 20h de France 2. Un choix ambitieux, et tout aussi audacieux quand on sait que la journaliste est déjà la cible de nombreux haters.
À 45 ans, Léa Salamé est l’une des figures médiatiques les plus reconnues de l’Hexagone. Mais elle n’en est pour autant pas moins clivante : modèle pour les uns, elle fait aussi grincer des dents. Mais pas question de céder à la peur. À la rentrée, la journaliste prendra la place d’Anne-Sophie Lapix à la présentation du 20h de France 2. N’en déplaise à ses détracteurs.
Léa Salamé, personnalité « à risques » : elle est sous étroite surveillance
Mais, là encore, le choix est audacieux. Et pour cause, celle qui vient de faire ses adieux à la matinale de France Inter, et à son ami et complice Nicolas Demorand, fait le choix d’une exposition à haut risque. Selon nos confrères de France Dimanche, Léa Salamé est devenue une personnalité « à risques » pour le ministère de l’Intérieur français. D’ailleurs, la femme de télévision fait d’ores et déjà l’objet d’une attention toute particulière de la place Beauvau.
Scrutée de près par plusieurs âmes malveillantes, elle pourrait être la cible de potentiels home jacking comme sa consoeur Anne-Sophie Lapix avant elle. Un dispositif de sécurité maximal aurait ainsi été mis en place autour de Léa Salamé, de sa petite famille – composée de l’eurodéputé Raphaël Glucksmann avec qui elle file le parfait amour depuis 2015, et de leur fils Gabriel né en 2017 – et de leur domicile parisien du 9e arrondissement. Même ses déplacements seraient surveillés !
Léa Salamé en danger dans son GQ parisien : elle doit changer ses plans !
Toujours selon France Dimanche, un protocole discret aurait été confié au au Service de la protection (SDLP) « qui concerne habituellement les hautes autorités de l’État, les personnalités internationales ou encore les célébrités clivantes ». « L’appartement parisien de la journaliste serait d’ores et déjà sous surveillance 24 heures sur 24 », écrivent les journalistes. Avant de préciser : « La maison en Corse, où Léa Salamé s’apprête à prendre ses quartiers d’été, serait, elle aussi, intégrée à ce ‘périmètre de vigilance' ».
Source : Journal des femmes