par Kate Middleton et William sont au cœur d’embarrassantes révélations dans le livre posthume de Virginia Giuffre, qui a accusé le prince Andrew de l’avoir agressé sexuellement à l’âge de 17 ans, dans le cadre de l’affaire Epstein. The Independant revient sur une séquence forte de ses mémoires.
Des révélations qui font trembler la famille royale… Ce mardi 21 octobre, les mémoires posthumes de Virginia Giuffre, Nobody’s Girl, sont disponibles à la vente. Elle revient dans cet ouvrage sur les abus qu’elle a subis de la part de Jeffrey Epstein et du prince Andrew qu’elle accuse d’agressions sexuelles. La femme de 41 ans, qui a mis fin à ses jours en avril dernier, révèle notamment que celui qui vient de renoncer à ses titres royaux aurait «tenté d’embaucher des trolls sur Internet pour la harceler». Elle affirme également que «l’équipe du duc» aurait établi une campagne numérique destinée à la discréditer alors qu’elle avait déjà été fragilisée par des années de procédures. Et ce n’est pas tout ! Il aurait aussi transmis son numéro de sécurité sociale à son service de protection pour trouver des informations compromettantes à son sujet. Des actes qui, selon la police britannique, pourraient constituer des infractions à la protection des données.
Au fil des pages, Virginia Giuffre fait d’autres révélations à propos de la Firme, mais cette fois-ci, cela concerne Kate Middleton et le prince William. En effet, la défunte assure qu’une grande chaîne de télévision, ABC News, n’avait pas diffusé une interview d’elle dans laquelle elle racontait ce qu’elle avait vécu afin de continuer à travailler avec la famille royale, et plus précisément avec le couple de Galles. Cela les aurait alors conduits à annuler la diffusion de cet entretien explosif. Amy Robach, qui avait recueilli ses confidences en 2015, a été particulièrement frustrée par cette décision. La chaîne américaine avait à l’époque contacté le palais de Buckingham pour le prévenir du récit raconté par Virginia Giuffre, ce qui a mené à sa non-diffusion. «Finalement, quelqu’un du réseau a dit à mon équipe juridique que parce que j’avais dit à Robach que j’avais été victime de trafic avec le prince Andrew, le réseau devait contacter le palais de Buckingham et un avocat d’Epstein», explique-t-elle, a relayé The Independant .
Source : Gala
