1 novembre 2025

Le Penthouse mythique de Claude François vendu à Paris pour près d’un million D’Euros

Un penthouse emblématique vendu à Paris

Situé boulevard Exelmans dans le 16ème arrondissement de Paris, ce penthouse de 72 m² appartenait à Claude François. Ce lieu, célèbre autant pour son propriétaire que pour l’événement tragique qui s’y est déroulé, a été vendu pour près d’un million d’euros.

Ce bien d’exception est lié à un moment sombre de l’histoire du chanteur, qui y a perdu la vie le 11 mars 1978 à l’âge de 39 ans, victime d’une électrocution dans sa salle de bain. Plus de quarante ans après cet incident, ce logement continue de fasciner par son histoire et son cadre.

Selon le journal Le Parisien, l’acheteuse, prénommée Marie, n’a pas hésité lors de l’achat. Situé au dernier étage de l’immeuble, le penthouse dispose d’une terrasse de 62 m², d’une pièce principale traversante très lumineuse et offre une vue imprenable sur Paris, jusqu’à la Tour Eiffel. Ces qualités ont permis d’effacer en partie l’aspect tragique du lieu.

Un héritage culturel toujours vivant

Au-delà de cet appartement, la mémoire de Claude François perdure à travers d’autres lieux emblématiques. Il possédait notamment le moulin de Dannemois, dans l’Essonne, qui a été transformé en musée. Après plusieurs années d’entretien par la famille Lescure, ce site pourrait également changer de propriétaire prochainement. Claude François Junior a indiqué qu’il travaille actuellement sur son rachat, précisant que la famille Lescure a bien fait son travail, mais qu’il faut prendre une décision rapidement.

Que ce soit le moulin ou le penthouse parisien, chaque lieu lié à Cloclo continue d’attirer la curiosité et l’émotion. Quarante ans après sa disparition, le mythe Claude François reste vif, brillamment ancré dans la mémoire collective.

Une acheteuse pragmatique face au passé

Le penthouse a été vendu au prix de 950 000 euros, sans négociation. Lorsqu’interrogée par Le Parisien, l’acheteuse a expliqué qu’elle n’était ni superstitieuse ni fan. Elle a justifié son achat par la vue exceptionnelle offerte par l’appartement, précisant que beaucoup de gens meurent chez eux, et que l’incident date de quarante-sept ans.

Pour certains, cet appartement reste associé à la fin tragique de l’interprète de Comme d’habitude. Mais pour d’autres, il demeure avant tout un joyau d’architecture parisienne, un espace rare dans un quartier très recherché de la capitale.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *