par Le coût impressionnant des looks de Meghan Markle pour Noël
Les fêtes de fin d’année sont souvent l’occasion de porter des tenues élégantes. Meghan Markle n’échappe pas à cette règle. Dans la nouvelle bande-annonce de sa série With Love, Meghan, elle partage ses conseils pour Noël tout en affichant des looks très sophistiqués. Sa garde-robe, aussi somptueuse qu’éblouissante, fait beaucoup parler.
Depuis la sortie de la vidéo, le prix des vêtements qu’elle porte suscite de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. En effet, la valeur totale de ses tenues s’élève à… 62 279 livres sterling, soit près de 71 000 euros. C’est une somme équivalente à deux fois le salaire annuel médian au Royaume-Uni.
Une garde-robe d’un coût astronomique
Les premières images montrent Meghan en train de se promener dans une pépinière, vêtue d’un manteau Max Mara, dont le prix dépasse 4 105 livres (environ 4 680 euros). La série de tenues se poursuit avec un pull sans manches de Gabriela Hearst à 650 livres (740 euros) ou une chemise blanche ceinturée à 890 livres (1015 euros).
Ce n’est pas tout. Lors d’une autre scène, Meghan porte une robe en soie vert émeraude de la marque londonienne Galvan, qu’elle allume en allumant des bougies. Cette pièce coûte 38 835 livres, soit près de 45 000 euros. Ce prix seule suffit à faire réfléchir sur la simplicité d’accès à ce genre de vêtements.
Des bijoux de luxe visibles dans la vidéo
Le teaser montre également Meghan avec une sélection de bijoux coûteux. On peut voir notamment une montre Cartier appartenant à la princesse Diana, estimée à 22 000 livres (25 000 euros). Elle porte aussi un bracelet Cartier Love à 7 050 livres (8 000 euros), un bracelet Jennifer Meyer à 3 795 livres (4 325 euros) et un bracelet Ariel Gordon à 4 595 livres (5 230 euros).
Une série critique dès sa sortie
Ce n’est pas la première fois que la série de Meghan Markle est critiquée. Dès la première saison, sortie en mars 2025, plusieurs médias ont jugé le programme peu authentique et trop inaccessible. La journaliste Carol Midgley, dans le Times, a notamment dénoncé une mise en avant de richesse et de style de vie excluif, comme si cela était accessible à tous.
