4 décembre 2025

Qui a hérité de la fortune secrète de Serge Gainsbourg

Qui a hérité de la fortune de Serge Gainsbourg ?

Serge Gainsbourg est décédé le 2 mars 1991 sans laisser de testament. En l’absence de document, sa succession a été réglée selon la loi française. Seuls ses enfants, issus de différentes unions, sont reconnus comme héritiers légaux.

Pourquoi Bambou n’a rien touché du patrimoine de Serge Gainsbourg

Dans une interview au Parisien, Bambou explique qu’elle n’a rien reçu de la succession. Elle précise qu’ils n’étaient pas mariés et que Serge Gainsbourg n’avait pas rédigé de testament. De ce fait, elle n’a hérité d’aucun bien patrimonial ou financier. Elle a uniquement obtenu quelques objets personnels, comme un peignoir, une paire de chaussures Repetto, des photos, des bijoux, ainsi que des souvenirs personnels.

Selon Marie France, tous les droits d’auteur, biens matériels et revenus liés à l’œuvre de Gainsbourg ont été attribués aux quatre enfants du chanteur.

Les enfants comme seuls héritiers : un partage clair des droits

Les héritiers légaux de Serge Gainsbourg sont ses deux enfants avec Françoise-Antoinette Pancrazzi, Natacha et Paul, Charlotte, née de son union avec Jane Birkin, et Lulu, né de sa relation avec Caroline Paulus, connue sous le nom de Bambou. Depuis la succession, ces quatre enfants gèrent l’ensemble des droits liés à l’œuvre, à l’exploitation patrimoniale et aux biens hérités. La gestion des royalties est centralisée par la société d’édition Melody Nelson Publishing.

Il en résulte que Bambou ne possède ni droit moral, ni droit de regard, ni revenu provenant des œuvres ou des biens de Serge Gainsbourg.

Une position acceptée sans rancœur, selon Bambou

Malgré l’absence de reconnaissance patrimoniale, Bambou affirme ne pas ressentir d’amertume. Elle explique qu’elle n’a rien demandé et n’a jamais contesté la succession. Elle conserve principalement des souvenirs intimes et symboliques. Elle maintient également des liens forts avec Charlotte Gainsbourg, qu’elle considère comme une petite sœur, évoquant une relation fraternelle : « J’en avais douze de plus. C’était ma petite sœur. J’ai vécu avec elle l’enfance que je n’ai pas eue. »

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