par Une fan, Nathalie, 50 ans, a été victime d’une escroquerie commise par une personne qu’elle croyait être Patrick Bruel. Il y a quelques mois, une soi-disant assistante du chanteur lui a proposé de s’abonner à un fan-club pour 150 euros. Nathalie n’a pas hésité à payer cette somme.
Au début, l’adhésion lui a permis de recevoir des bénéfices : la secrétaire du Secours Catholique a reçu un appel de Patrick Bruel à son domicile, des fleurs pour la Saint-Valentin, ainsi que des messages privés. Cependant, le faux agent lui a ensuite demandé de l’argent pour payer un traitement contre le Covid. Finalement, Nathalie a vidé son compte en banque, pour un montant total de 24 000 euros. Elle a raconté cette histoire dans l’émission « Ça commence aujourd’hui » sur France 2.
Patrick Bruel : une anecdote inquiétante avec deux adolescentes
Lors d’une interview, Patrick Bruel a évoqué une expérience qui l’a marqué. Alors qu’il tournait le film L’Union sacrée d’Alexandre Arcady dans les années 80, il se souvient avoir été confronté à une situation inattendue. Il était très immergé dans son rôle de policier et portait un flingue sur le tournage, ce qu’il avait l’habitude de faire, même si ce n’était pas nécessaire.
Un soir, alors qu’il rentrait chez lui avec cette arme non-chargée, un bruit l’a surpris près de sa porte. Il a alors braqué son arme, pensant être en danger. En levant la tête, il a découvert deux adolescentes de 15 ans qui l’attendaient pour obtenir un autographe. Bruel a alors rassuré les jeunes filles en leur signant des photos, tout en étant encore armé.
Les critiques et ses réactions
Récemment, Patrick Bruel a retrouvé ses fans dans la série Menace imminente, diffusée sur TF1. Dans cette fiction, il incarne un colonel du renseignement israélien, collaborant avec une policière française pour traquer un vendeur de logiciel malveillant responsable d’un accident mortel impliquant un journaliste russe.
Malgré cette nouvelle apparition à l’écran, la série n’a pas fait l’unanimité auprès des critiques. Beaucoup lui reprochent une déconnexion avec le contexte géopolitique actuel, jugé trop peu crédible. Bruel a réagi en soulignant que c’est une fiction d’espionnage, comme si un acteur incarnant James Bond devait se prononcer sur la politique de son personnage. Il estime que ces questions ne se poseraient pas si la série mettait en scène un service secret australien, par exemple.
