Près d’un an après la découverte des ossements d’Emile dans une clairière du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), les enquêteurs de la Section de recherches de Marseille poursuivent leurs recherches. Selon BFMTV DICI, de nouveaux événements liés à l’enquête posent question.
Une enquête qui n’est toujours pas résolue. Le 8 juillet 2023, Émile, alors âgé de deux ans et demi, disparaît dans le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) après avoir échappé à la surveillance de ses grands-parents. Vingt mois après la signalisation de sa disparition, les enquêteurs de la Section de recherches de Marseille poursuivent leurs investigations. D’après les derniers éléments recueillis, gendarmes, magistrats et parties civiles s’accordent désormais pour dire que le petit garçon n’a pas pu disparaître seul. «Qu’il y ait un auteur, cela ne fait quasiment plus aucun doute. A-t-il volontairement porté atteinte à l’enfant ou involontairement ? C’est impossible à dire pour le moment. Mais qu’il puisse y avoir une intervention humaine, ça, c’est désormais fort probable», confie une source proche du dossier, à BFM DICI, ce jeudi 13 mars.
Afin de découvrir l’entière vérité sur cette affaire, les enquêteurs continuent de travailler nuit et jour. Ils collaborent aussi étroitement avec l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) et s’appuient sur le travail du laboratoire privé du professeur Christian Doutremepuich. Comme l’indique BFM DICI, ce dernier est d’ailleurs parvenu à «isoler au moins un ADN étranger à celui de la famille d’Emile lors de l’analyse des ossements et vêtements de l’enfant l’été dernier.» Mais alors, de qui peut-il bien s’agir ?
Source : Gala