Le procès d’Anouchka Delon contre ses frères Anthony et Alain-Fabien Delon, qui devait se tenir en avril 2025, a été reporté à l’année prochaine, apprend-on par Le Figaro ce jeudi 10 avril.
Une guerre fratricide reportée. En mars 2024, Anouchka Delon a annoncé intenter un procès à ses deux frères Anthony et Alain-Fabien pour atteinte à la vie privée après la diffusion sur les réseaux sociaux de l’enregistrement d’une conversation entre elle et son père, le 5 janvier 2024, à Douchy. Le 29 mars 2024, le Tribunal correctionnel de Paris a alors déclaré que les deux acteurs seraient jugés pour «utilisation, conversation ou divulgation d’un document ou enregistrement obtenu par une atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui» lors d’un procès qui doit se tenir en avril 2025. Toutefois, ce jeudi 10 avril, Le Figaro rapporte que l’affaire a été renvoyée au 17 mars 2026, sans dévoiler les raisons.
Plus d’un an avant le décès d’Alain Delon, ses trois enfants avaient une violente altercation avec Hiromi Rollin. En janvier 2024, ils s’étaient alors déchirés par médias interposés. Lors d’une interview pour Paris Match, le père de Loup et Liv, accusait leur sœur de «manipuler» leur famille et de leur avoir caché la dégradation de l’état de santé de leur père. La mère de Lino avait alors répliqué de passage sur le plateau du 20h de TF1. Alain-Fabien Delon, avait lui, rejoint le clan de son frère en dévoilant sur ses réseaux sociaux la fameuse conversation.
Mort d’Alain Delon : l’héritage de l’acteur, nouveau sujet de discorde pour la fratrie
Six mois après le décès d’Alain Delon, lors d’une interview pour Paris Match, Alain-Fabien Delon, a annoncé attendre son premier enfant avec sa compagne Laura Bensadoun, mais a aussi fait des révélations sur l’héritage du défunt acteur. Au sujet de la succession, le jeune homme de 31 ans explique : «Depuis que papa est parti, ça n’avance pas. Tout est gelé, à part la société Adid en Suisse, que dirige ma soeur, qui poursuit ses activités. Sans que l’on nous communique la moindre information, alors que nous sommes en droit de les obtenir».
Source : Gala