Le chef Philippe Etchebest est célèbre pour son caractère de dur à cuire. Mais derrière cette carapace se cache un homme sensible, complètement gaga de son fils, Louis-Oscar.
Alors qu’il met les chocottes à de nouveaux restaurateurs en détresse dans la 15e saison de l’émission Cauchemar en cuisine actuellement diffusée sur M6, le médiatique chef Philippe Etchebest n’est pas aussi dur dans sa vie privée. Père d’un grand garçon, il avait dévoilé son côté sensible en évoquant son adoption il y a quelque temps de cela…
Philippe Etchebest père reconnaissant : « C’est un beau cadeau… »
Dans Les Rencontres du Papotin, le chef Philippe Etchebest s’est ainsi montré à nu, acceptant avec ces journalistes pas tout à fait comme les autres de mettre les pieds dans le plat et de parler de sa vie intime. Il a notamment été interrogé sur l’adoption au Mexique, en 2005, de son discret fils prénommé Louis-Oscar, aujourd’hui âgé de 21 ans.
Le chef et juge de Top Chef n’a pas caché à quel point cette paternité était un miracle. « C’est un beau cadeau. Parce qu’il se trouve que Dominique et moi, on n’a pas pu avoir d’enfant« , a-t-il confié, sans trop s’étendre sur les détails. Il a rappelé que sa femme Dominique, qu’il a épousée en 1994, « avait à cœur d’adopter« , mais que le chemin vers Louis-Oscar n’a pas été simple. Il a d’ailleurs qualifié l’adoption de « parcours du combattant« .
Philippe Etchebest découvre la paternité : « C’était un moment incroyable«
Pour Philippe Etchebest et sa femme, l’adoption a été une vraie bataille. Il a raconté avec sincérité les cinq années d’attente, de refus et d’espoirs déçus. « C’est dur, c’est compliqué mais c’est une belle aventure« , a-t-il expliqué. Plusieurs fois, on leur a annoncé : « On a trouvé, vous allez avoir un enfant« … avant de revenir sur la décision. Malgré tout, ils ont tenu bon. Le souvenir le plus fort pour le chef reste la première visite à l’orphelinat : « Je me souviens toujours de la première fois qu’on a été dans l’orphelinat pour voir notre fils, c’était un moment incroyable ».
Source : Journal des femmes