par Une admiration inattendue pour Nicolas Sarkozy
Lors de son passage dans l’émission C à vous le 5 décembre 2025, Raphaël Quenard, acteur connu pour ses rôles singuliers dans le cinéma français, a surpris tout le monde en évoquant son admiration pour Nicolas Sarkozy. Contrairement à ses apparitions habituelles, il n’était pas là pour parler politique, mais sa déclaration a pris une tournure inattendue.
Ce moment particulier a été introduit par Mohamed Bouhafsi, qui a rappelé un épisode peu connu de la vie de l’acteur. Avant de devenir une figure du cinéma, Raphaël Quenard a travaillé six mois comme assistant parlementaire auprès de Bernadette Laclais, députée socialiste de Savoie. Un passage bref mais marquant, durant lequel il a été en contact avec la politique, notamment avec Nicolas Sarkozy, qu’il décrit comme une figure qui l’a profondément marqué.
Une fascination pour la personnalité de Nicolas Sarkozy
Interrogé sur cette admiration, Raphaël Quenard, qui incarnera prochainement Johnny Hallyday dans un biopic très attendu, parle avec simplicité et sincérité. Il explique qu’il est impressionné par Sarkozy parce qu’il le voit comme un artiste qui livre une performance. Il précise qu’il ne s’agit pas d’un discours partisan, mais plutôt d’une reconnaissance de la capacité de l’ancien président à captiver et à séduire par sa présence.
Il souligne également que cette admiration est liée à une certaine image que Sarkozy renvoie, notamment son regard vif et son esprit espiègle, qui lui rappellent sa mère. Selon lui, cette aura mêle humour et charme, ce qui suscite chez lui de la sympathie immédiate.
Une passion pour la politique et les figures publiques
Raphaël Quenard va plus loin en affirmant qu’il est en train de faire l’éloge de Nicolas Sarkozy. Sur le plateau, cette déclaration suscite la surprise et l’amusement, notamment lorsqu’on lui demande s’il rêvait enfant de devenir président de la République. Sa réponse est inattendue : il raconte que sa mère lui avait demandé, il y a trois ans, ce qu’il voulait faire plus tard, et qu’il avait répondu « président de la République ».
Ce récit, raconté avec un sourire, montre que son intérêt pour les figures de pouvoir n’est pas seulement lié à la politique, mais aussi à leur aspect public et charismatique. Pour lui, Nicolas Sarkozy représente cette fascination pour le rôle de président, qu’il voit comme une figure presque mythique, plutôt qu’un homme politique au sens strict.
