par Ce vendredi 11 avril, Emmanuel Macron était au Salon du Livre à Paris. Durant sa visite, le président de la République a été rejoint par une ancienne ministre qui n’a pas hésité à lui donner son avis sur l’une de ces décisions politiques de 2024.
Emmanuel Macron n’est pas passé inaperçu dans les allées du Salon du Livre, ce vendredi 11 avril. Entouré de sa garde rapprochée, le président de la République a parcouru les nombreux stands et a même retrouvé l’une de ses anciennes ministres ! Comme le montrent les images diffusées sur Quotidien ce lundi, le chef de l’État a eu le plaisir de croiser Françoise Nyssen, ministre de la Culture de 2017 à 2018. La belgo-française, fondatrice avec son défunt mari Hubert de la maison d’édition Actes Sud, a fait quelques recommandations à Emmanuel Macron, féru de littérature.
« Vraiment j’étais fier de toi. Le 9 juin moins, c’était mon anniversaire, je n’étais pas fière de toi… », l’a-t-on entendu confié au locataire de l’Élysée, en faisant référence à sa décision de dissoudre l’Assemblée nationale, après les résultats des élections européennes. « Pourquoi le 9 juin t’étais pas… ? » répond alors Emmanuel Macron, interloqué et un brin gêné. « C’était pas une mauvaise décision », soutient une femme dont on ne voit pas le visage, alors que Françoise Nyssen sourit et se rapprochant du président. « Tu verras. Il faut mettre aux gens la responsabilité, sinon ça pète de l’intérieur… » s’est-il alors justifié. « Je l’ai déjà vécu ! »
Emmanuel et Brigitte Macron font une apparition surprise au Salon du Livre
Accompagnés de Rachida Dati, ministre de la Culture, le président et la Première dame, qui célébrait ce samedi son 71e anniversaire, ont créé la surprise en défilant entre les étals des libraires, alors que leur sortie n’était pas notée à leur agen. « Le Président m’a paru très heureux et réceptif de pouvoir échanger ici », a assuré au Figaro Antoine Caro, directeur des éditions Seghers, qui n’a pas manqué d’offrir à ce visiteur un peu particulier plusieurs ouvrages. Des présents qui n’auraient pas manqué de toucher l’homme politique : « Il m’a dit que rien ne pouvait lui faire plus plaisir qu’un livre en cadeau. »
Source : Gala
