par Une dette fiscale colossale enfin réglée
Après la disparition de Johnny Hallyday, Laeticia Hallyday a dû faire face à une dette fiscale très importante. En 2018, le fisc lui réclamait près de 36 millions d’euros, selon Paris Match, ou 33 millions selon d’autres sources. Cette somme comprenait des arriérés en France et aux États-Unis, liés aux sociétés Navajo et Artistes et Promotions, qu’elle a héritées ou gérées à cette époque.
Pour faire face à cette situation, Laeticia a mis en place une procédure de sauvegarde pour ses sociétés, et un accord a permis de réduire la somme à payer. Le fisc français a accepté de retirer 3,2 millions de pénalités en échange du paiement du reste. Finalement, la veuve du rockeur a été en mesure de solder ses dettes, qui s’élevaient à environ 7,7 millions d’euros, selon les informations récentes.
Les stratégies pour apurer ses dettes
Pour éponger cette dette, Laeticia a vendu plusieurs biens immobiliers et véhicules. La villa de Marnes-la-Coquette, baptisée Savannah, a été vendue pour environ 7 millions d’euros, alors qu’elle espérait obtenir entre 10 et 15 millions. Elle a également cédé une Rolls Royce, une Lamborghini et plusieurs motos de Johnny, principalement pour rembourser les crédits hérités du chanteur.
Une partie importante de ses ventes a été effectuée aux États-Unis. En 2021, elle a cédé sa maison d’Amalfi Drive, à Pacific Palisades, pour 14 millions de dollars (environ 12,9 millions d’euros). Selon ses proches, cette opération s’inscrit dans une stratégie de réduction de ses dettes fiscales : « Des sommes qui avaient été versées à l’administration américaine ont été réallouées à la France », explique un conseiller. La suppression de la double imposition entre la France et les États-Unis a permis de diminuer la facture fiscale globale, facilitant le règlement des dettes.
Comment Laeticia Hallyday vit-elle aujourd’hui ?
Avec ses dettes effacées, Laeticia Hallyday dispose désormais de revenus stables. Elle perçoit des droits d’auteur et des royalties issus des albums encore vendus. Elle travaille aussi sur un biopic et des éditions d’albums, qui contribuent à maintenir la notoriété de Johnny Hallyday et à générer de nouveaux revenus.
Son patrimoine immobilier reste un pilier de ses revenus. À Saint-Barthélemy, elle possède la Villa Jade, une résidence de 500 m² avec huit chambres, salle de sport, jacuzzi et piscine à débordement. Cette villa se loue jusqu’à 145 000 dollars (environ 133 000 €) la semaine pendant les périodes de fêtes. Elle possède également un bungalow à Los Angeles, d’une valeur d’environ 920 000 €, où vit sa fille Jade pendant ses études. Ces biens témoignent d’une stabilité financière encore solide.
