par Depuis plusieurs années, Nicolas Canteloup est un visage connu en France dans le monde de l’humour. Animateur et imitateur, il est notamment célèbre pour son émission C’est Canteloup sur TF1. Cette année, il a également rejoint la station RMC avec sa chronique Face à Canteloup.
Une vie bien remplie, mais une passion intacte
Malgré un emploi du temps chargé entre la télévision et la radio, Nicolas Canteloup, âgé de 62 ans, parvient à conserver sa passion pour l’équitation. Il pratique quotidiennement ce sport, qu’il considère comme un rituel. Il explique à TV Mag : « Il n’y a pas un jour où je ne monte pas à cheval. » Avant de se lancer dans ses activités radiophoniques, il se levait à 5h30 pour cette pratique. Aujourd’hui, il préfère s’y adonner le soir, peu importe la météo : neige, vent ou pluie.
Il confie également : « Au début, je pensais que cette double vie me pénaliserait. Mais avec le temps, j’ai compris que c’était une chance de prendre du recul. Être sous les projecteurs n’est pas naturel, c’est éphémère. Quand je rate un sketch, je peux ruminer toute la journée. Moi, quand ça arrive, je pars faire un gala, et c’est fini. » Et il conclut : « Le jour où ça s’arrêtera, je sais ce que je ferai. »
Un projet pour transmettre : une école d’équitation
Hors de la scène, Nicolas Canteloup prépare un projet qui lui tient à cœur : ouvrir une école d’équitation. Son objectif est d’offrir cette possibilité à un public souvent peu considéré, notamment aux adultes débutants. Il explique : « Beaucoup d’amis me demandent où apprendre. Il existe des écoles pour enfants, mais peu pour les adultes qui débutent. J’aimerais leur offrir cette opportunité. »
Résidant dans une écurie à Maisons-Laffitte, dans les Yvelines, il précise : « J’aime transmettre. J’ai appris à mes quatre enfants, et je suis instructeur diplômé d’État. Cela me permet d’envisager l’ouverture d’une école. » Cependant, il reconnaît que lancer un tel projet demande du temps, surtout avec ses engagements à la radio et à la télévision. Pourtant, l’envie est toujours présente.
Il avait déjà évoqué cette ambition dans L’Équipe, en précisant : « Je souhaite ouvrir une école pour les grands débutants, une clientèle de 45 à 70 ans souvent laissée de côté par les clubs. Mon objectif est de rendre un débutant autonome au galop en neuf mois, en sélectionnant les moniteurs adéquats. »
