Après la perte de leur titre, le prince Andrew et Sarah Ferguson ont effectué quelques modifications sur les réseaux sociaux. Les ex-époux ont en effet changé leur nom de profil, comme l’ont repéré nos confrères du magazine Hello!
Un subtil changement qui n’est pas passé inaperçu. Le 17 octobre dernier, le prince Andrew a renoncé à son titre royal de « duc d’York » et à ses honneurs, alors que l’affaire Epstein et ses liens avec le financier américain condamné pour crimes sexuels continuent de ternir l’image de la Couronne. « Après discussion avec le Roi et ma famille proche et élargie, nous avons conclu que les accusations persistantes à mon encontre détournent l’attention du travail de Sa Majesté et de la famille royale », a-t-il d’abord écrit dans un communiqué officiel. Et d’ajouter : «J’ai décidé, comme toujours, de faire passer mon devoir envers ma famille et mon pays avant tout.» Un choix, mûrement réfléchi, qui n’impacte pas uniquement le frère de Charles III. Si ses filles Eugenie et Beatrice peuvent garder leur titre, il en est tout autre pour son ex-épouse Sarah Ferguson. Alors qu’elle tenait tant à son statut de “duchesse d’York”, conservé après son divorce avec le prince Andrew, cette dernière ne pourra plus être prénommée de la sorte.
Face à ce coup dur, Sarah Ferguson a pris une décision radicale. Quelques heures après l’annonce de l’oncle des princes Harry et William, elle s’est emparée de ses réseaux sociaux pour effectuer une modification de dernière minute. Comme l’ont repéré nos confrères du magazine Hello!, ce mardi 21 octobre, Sarah Ferguson a en effet supprimé son titre à son profil. Dès lors, elle est présente sur la toile sous le pseudonyme «sarahMFergie15» et non « SarahTheDuchess ». Et elle n’est pas la seule à avoir opéré cette rectification. Toutes les publications officielles dans lesquelles le fils cadet d’Elizabeth II était désigné comme le duc d’York ont été «supprimées du site web de la famille royale», a ainsi noté le tabloïd. Par conséquent, ce dernier est simplement présenté comme «le prince Andrew». Une page semble bel et bien tournée.
Source : Gala
